Source: « Du vin et du hachisch », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. Bouquins, 2004, p. 217 - Du vin et du hachisch, 1851
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”