Source: La Maison de Claudine (1922), Colette, éd. Imprimerie Moderne de Nantes, coll. Super-Bibliothèque, 1976 (ISBN 2-261-00093-6), La «Fille de mon père», p. 91
“L'horrible masse des livres révèle et cache la rivière et ses origines : j'aime à dire que les sources attirent les savants parce qu'elles sont libres de savants !”