Thomas de Quincey (5 citations)

“Personne ne déploiera jamais les facultés de son intelligence s'il n'intercale, pour le moins, quelques moments de solitude dans sa vie.”

― Thomas de Quincey

“Il y a tout d'abord la littérature de la connaissance, et secondement, la littérature de la puissance. La fonction de la première est d'enseigner ; la fonction de la seconde est d'émouvoir.”

― Thomas de Quincey

“Un homme qui n'a jamais souffert peut vivre et mourir sans se douter des travers ou de la bonté du cœur humain.”

― Thomas de Quincey

“Si l'impression est durable et forte, si elle a laissé son souvenir, que lui manque-t-il pour cesser de s'appeler un rêve ? Et quel rêve délicieux !”

― Thomas de Quincey

“Le triomphe est toujours inattaquable, tandis que l'on peut excuser la défaite, selon qu'elle est la consolation d'une peine ou la recherche d'un plaisir.”

― Thomas de Quincey

Citations d'autres auteurs

“Dans la vie, il faut parfois faire des choix, et parfois ce sont les choix qui te font.”

― Gayle Forman

Source:
Si je reste

“La religion catholique est une méthode pour obtenir le ciel en mendiant. Mais comme il est trop difficile à obtenir, les prêtres servent d'entremetteurs.”

― Arthur Schopenhauer

“Intéresse-toi à la vie comme tu la vois, les gens, les choses, la littérature, la musique - le monde est si riche, il vibre grâce à ses trésors, de ces âmes belles et de gens intéressants. Oublie-toi.”

― Henry Miller

“Rien ne me fascine plus que le travail: je peux rester assis et le contempler pendant des heures.”

― Alphonse Allais

“Toute nation a le gouvernement qu'elle mérite.”

― Joseph de Maistre

Source:
Correspondance diplomatique, Joseph de Maistre, Albert Blanc (éd.), éd. Michel Lévy, 1861, t. 2, XLV, Saint-Petersbourg, 18/30 avril 1816, p. 196

Thomas de Quincey

Biographie: Thomas de Quincey, est un écrivain britannique. Il naît dans la ville industrielle de Manchester. D'une famille normande, son père, marchand de textile, meurt en 1793.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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