Source: « Du vin et du hachisch », dans Les paradis artificiels (1980), Charles Baudelaire, éd. Yves Florenne, coll. Le Livre de Poche, 1993, p. 30 - Du vin et du hachisch, 1851
“J'avais mon ânier, mon fruitier, mon parfumeur, mon orfèvre, mon papetier, des affaires prospères, des relations au palais et une maison sur le Nil. Je croyais avoir atteint l'oasis des sources fraîches.”