Source: « Comment je vois le monde » (1934), dans Comment je vois le monde (1934-1958), Albert Einstein (trad. Maurice Solovine), éd. Flammarion, 1958, chap. 1 « Comment je vois le monde », p. 8
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”