Source: Le Roman de Venise (2004), George Sand/Alfred de Musset, éd. Grasset, 1904, George Sand à Hippolyte Chatiron Venise, 6 mars 1834, p. 165 - Le Roman de Venise, 1904
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”