Source: Le Crépuscule des idoles (1888), Friedrich Nietzsche (trad. Henri Albert), éd. Mercure de France, 1908 (éd. 7), partie Maximes et flèches, § 8, p. 108
“Il perdait son emprise sur le monde comme sur moi et, à l'instar d'un grand nombre de personnes auxquelles cela arrive, il croyait à tort avoir atteint une certaine sagesse.”