Georges Courteline (134 citations)

“L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.”

― Georges Courteline

“Qui donne la leçon doit l'exemple. Sévérité bien ordonnée commence par soi-même.”

― Georges Courteline

“Les femmes sont tellement menteuses qu'on ne peut même pas croire le contraire de ce qu'elles disent.”

― Georges Courteline

“L'alcool tue lentement, on s'en fout on est pas pressé!”

― Georges Courteline

“Il est des gens trop haut placés par la dignité de leur vie, par la noblesse de leur caractère, par la nature même des fonctions qu'ils exercent, pour que la moindre éclaboussure atteigne seulement jusqu'à leurs semelles.”

― Georges Courteline

“On doit la vérité aux gens intelligents, mais on doit le mensonge aux imbéciles.”

― Georges Courteline

“La femme ne voit jamais ce qu'on fait pour elle ; elle ne voit que ce qu'on ne fait pas.”

― Georges Courteline

Source:
Oeuvres complètes: Le miroir concave, suivi deRimes

“L'orgueil, ce parasite, Fils du sot amour-propre et de la vanité, Conseille mal les gens dont il est écouté.”

― Georges Courteline

“Il n'y a pas de milieu: quand on n'est plus jeune, on est vieux, et à partir de cinquante ans, on est tous du même âge.”

― Georges Courteline

“Il faut éviter le paradoxe, comme une fille publique qu'il est, avec laquelle on couche à l'occasion, pour rire, mais qu'un fou, seul, épouserait.”

― Georges Courteline

Source:
La philosophie de Georges Courteline, Éd. L'AGE D'HOMME, 2000 - ISBN: 9782825112311

“Le Christ a pardonné à la femme adultère. Parbleu ! Ce n'était pas la sienne.”

― Georges Courteline

“L'orgueil, l'éternel orgueil, le besoin de briller et d'étonner le monde par des mérites que l'on n'a pas !”

― Georges Courteline

“Nous sommes bien faits, ami, pour nous comprendre ! Pour être l'un à l'autre et, dans tout, de moitié !”

― Georges Courteline

“Les gens traverseront Paris pour vous emprunter un livre. Ils ne monteront pas un étage pour vous le rendre.”

― Georges Courteline

“S'il fallait tolérer aux autres tout ce qu'on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable.”

― Georges Courteline

Source:
La philosophie de Georges Courteline, Éd. L'AGE D'HOMME, 2000 - ISBN: 9782825112311

“Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet.”

― Georges Courteline

Source:
Les oeuvres complétes de Georges Courteline [pseud.]: Philosophie, suivie de Pochades et croquis

“L'imbécillité humaine est un bien curieux spectacle.”

― Georges Courteline

“Il est exact que ça porte malheur de se marier un vendredi 13, car il n'y a pas de raison pour que ce jour fasse exception.”

― Georges Courteline

“Il y a deux sortes de femmes : celles qu'on compromet et celles qui vous compromettent.”

― Georges Courteline

“J'étais né pour rester jeune, et j'ai eu l'avantage de m'en apercevoir, le jour où j'ai cessé de l'être.”

― Georges Courteline

Source:
La philosophie de Georges Courteline, Éd. L'AGE D'HOMME, 2000 - ISBN: 9782825112311

“Moins le poste que vous occupez sera élevé, plus votre absence sera remarquée.”

― Georges Courteline

“Il y a deux sortes de mariages : le mariage blanc et le mariage multicolore parce que chacun des deux conjoints en voit de toutes les couleurs.”

― Georges Courteline

“Faire le malin est le propre de tout imbécile.”

― Georges Courteline

“S'il fallait tolérer des autres tout ce qu'on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable.”

― Georges Courteline

“L'homme n'est pas fait pour travailler. La preuve, c'est que ça le fatigue.”

― Georges Courteline

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Georges Courteline

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Georges Courteline

Naissance: 25 juin 1858

Décès: 25 juin 1929 (à 71 ans)

Biographie: Georges Courteline, nom de plume de Georges Victor Marcel Moinaux ou Moineau, est un romancier et dramaturge français, né le 25 juin 1858 à Tours, mort le 25 juin 1929 à Paris.

Personnalité française

Naissance en 1858

Naissance le 25 juin

Citation du jour

“[Sur l'administration] Entre les gros chefs centralisés, suintant du fond de leur carrière, les prétendants déconcentrés qui se tapent les barreaux de l'échelle, et la ribambelle de décentralisés, indépendants pour faire joli, on se tord les tripes pour un rien.”

— Loïc Decrauze

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