Source: « Premières Méditations poétiques », dans Œuvres complètes, Alphonse de Lamartine, éd. Hachette, Pagnerre, Furne, 1856-1857, t. 1, méditation I (« L'Isolement »), p. 116
“L'horrible masse des livres révèle et cache la rivière et ses origines : j'aime à dire que les sources attirent les savants parce qu'elles sont libres de savants !”