| “ Le christianisme n'était pas "national", pas réservé à une race — il s'adressait à tous les déshérités de la vie, quels qu'ils fussent, il avait des alliés partout. La base du christianisme, c'est la rancune des malades, leur instinct dirigé contre les bien-portants, contre la santé. Tout ce qui est achevé, fier, exubérant, et avant tout la beauté, lui fait mal aux oreilles et aux yeux.” Source: L'Antéchrist (1888), Friedrich Nietzsche, éd. Gallimard, coll. Folio Essais, 2006 (ISBN 978-2-07-032557-3), Aphorisme 51, p. 70 |