Jean-Marie Gourio (117 citations)

“La meilleure condition de travail, c'est les vacances.”

― Jean-Marie Gourio

“Celui qui a inventé la Noël, c'est un mec qui devait tenir un magasin.”

― Jean-Marie Gourio

“La machine remplacera jamais l'homme, elle est pas assez con.”

― Jean-Marie Gourio

Source:
Brèves de comptoir, l'anniversaire

“L'élégance, c'est la politesse du tissu, voilà ce que c'est...”

― Jean-Marie Gourio

“Manipulation mentale et destruction de la personnalité, soif d'argent et abrutissement de la société, la télé, c'est ni plus ni moins une secte.”

― Jean-Marie Gourio

“A force de bouffer des conservateurs, on finira par plus pourrir dans le cercueil.”

― Jean-Marie Gourio

“J'ai un chien pas trop intelligent pour qu'il me prenne pas pour un con.”

― Jean-Marie Gourio

“L'avantage de visiter le désert, c'est que t'as pas besoin d'apprendre la langue.”

― Jean-Marie Gourio

“Sur les vieilles images en noir et blanc, on voit mieux la tristesse.”

― Jean-Marie Gourio

Source:
Les nouvelles brèves de comptoir : Tome 2

“L'avantage de la soupe de poisson, c'est que le poisson est dans son élément.”

― Jean-Marie Gourio

“Ils ont rajouté le Grand Louvre, parce que le petit, en dix minutes, on a tout vu.”

― Jean-Marie Gourio

Source:
Brèves de comptoir, l'anniversaire

“Une plume au cul, ça te fait pas de la merde qui vole !”

― Jean-Marie Gourio

“La neige a deux côtés, un qui accroche et un qui glisse, le côté qui accroche est en bas, et le côté qui glisse en haut, pour faire du ski... si c'est le glissant en dessous, ça fait des avalanches.”

― Jean-Marie Gourio

“L'argent que l'alcool rapporte à l'Etat, c'est énorme ; moi cette année, rien qu'en picolant, j'ai payé l'impôt sur la fortune !”

― Jean-Marie Gourio

Source:
Brèves de comptoir, l'anniversaire

“C'était un silence de bibliothèque. S'asseoir dans ce silence des livres, sans rien faire ni rien dire, donnait déjà l'impression d'avoir lu.”

― Jean-Marie Gourio

“Vaut mieux pas être croyant et que Dieu existe plutôt que d'être croyant et que Dieu existe pas.”

― Jean-Marie Gourio

Source:
Le grand café des brèves de comptoir

“Disneyland, tu fous du barbelé autour et tu enfermes les gens dedans, ça fait une prison où tout le monde est fou.”

― Jean-Marie Gourio

“Au pôle Nord, au pôle Sud, à l'équateur, l'homme s'acclimate partout, il n'y a qu'en banlieue qu'il ne s'acclimate pas.”

― Jean-Marie Gourio

“Boire un coup avec Bob, TinTao, Rico [... ] et les autres, qui naviguent sur ce morceau de Lune en riant, en parlant, en chantant, le cœur paré des plus incroyables joyaux.”

― Jean-Marie Gourio

Source:
Un café sur la lune

“J'ai souvent un moins bon contact avec les enfants qu'avec les animaux, d'ailleurs avec mes enfants, on ne s'entend pas bien, ils me mordent.”

― Jean-Marie Gourio

“Si on veut avoir une image assez juste de la société française, le vrai panel est au comptoir avec son lot habituel d'optimistes, de déprimés, de petits malins, de paumés et de têtes de con.”

― Jean-Marie Gourio

Source:
« L'entretien », Jean-Marie Gourio (propos recueillis par Stéphane Jarno), Télérama, nº 3029, semaine du 2 au 8 février 2008, p. 16

“La bêtise c'est comme une sorte de fumier pour les légumes, alors que l'intelligence, ce serait plutôt de l'engrais pour les fleurs.”

― Jean-Marie Gourio

“La première fois que j'ai vu la mer, je l'avais déjà vue, alors ça m'a rien fait.”

― Jean-Marie Gourio

Source:
Le grand café des brèves de comptoir

“Les handicapés, ils veulent faire du sport, ils veulent travailler, ils veulent faire tout ce que nous on fait pas.”

― Jean-Marie Gourio

Source:
Les nouvelles brèves de comptoir : Tome 2

“Un brouillard ! Mais un brouillard ! On aurait roulé les fenêtres ouvertes, je te jure on se perdait dans la voiture !”

― Jean-Marie Gourio

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Jean-Marie Gourio

Jean-Marie Gourio

Naissance: 1956 (69 ans)

Biographie: Jean-Marie Gourio est un auteur et un scénariste français, né en 1956 à Nérac.

Écrivain français

Naissance en 1956

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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