Source:
Théâtre: La cantatrice chauve ; La leçon ; Jacques, ou, La soumission ; Les chaises ; Victimes du devoir ; Amédée, ou, Comment s'en débarasser (ed. 1954)

“Tu m'avais prévenu trop tôt. Tu m'avertis trop tard. Je ne veux pas mourir... Je ne voudrais pas. Qu'on me sauve puisque je ne peux plus le faire moi-même.”

― Eugène Ionesco

Source:
Le Roi se meurt

“Rien n'est nouveau sous le soleil même quand il n'y a pas de soleil.”

― Eugène Ionesco

“Il y a des choses qui viennent à l'esprit même de ceux qui n'en ont pas.”

― Eugène Ionesco

Source:
Rhinocéros, Éd. Harcourt School, 1976 - ISBN: 9780030137310

“En réalité je suis devant le monde comme devant un bloc opaque et j'ai l'impression que je ne comprends rien à rien, et qu'il n'y a rien à comprendre.”

― Eugène Ionesco

“Où il n'y a pas d'humour, il n'y a pas d'humanité, où il n'y a pas d'humour, il y a le camp de concentration.”

― Eugène Ionesco

“Ce ne fut qu'une courte promenade dans une allée fleurie, une promesse non tenue, un sourire qui s'est renfermé.”

― Eugène Ionesco

Source:
Le roi se meurt

“Vous avez certainement de l'amour-propre, le culte de votre intelligence. Rien n'est plus gênant que d'être sot. C'est beaucoup plus compromettant que d'être criminel, même la folie a une auréole.”

― Eugène Ionesco

Source:
Théâtre (ed. 1954)

“Tous les chats sont mortels, Socrate est mortel, donc Socrate est un chat.”

― Eugène Ionesco

“Rhinocéros est une fable où les Hommes abdiquent leur humanité.”

― Eugène Ionesco

“LE PROFESSEUR : Les sons, mademoiselle, doivent être saisis au vol par les ailes pour qu'ils ne tombent pas dans les oreilles des sourds.”

― Eugène Ionesco

Source:
La Cantatrice Chauve - La leçon

“Fils ! fils ! écoute-moi. Je t'en supplie, ne réponds pas à mon brave cœur de mère, mais parle-moi, sans réfléchir à ce que tu dis. C'est la meilleure façon de penser correctement, en intellectuel et en bon fils.”

― Eugène Ionesco

Source:
Jacques ou la soumission: L'avenir est dans les oeufs (ed. 2008)

“La pénicilline et la lutte contre l'alcoolisme sont bien plus efficaces que les changements de gouvernements.”

― Eugène Ionesco

Source:
Théâtre (ed. 1954)

“Juliette: La terre s'effondre avec lui. Les astres s'évanouissent. L'eau disparaît. Disparaissent le feu, l'air, un univers, tant d'autres.”

― Eugène Ionesco

Source:
Le roi se meurt

“Des milliards de morts. Ils multiplient mon angoisse. Je suis leurs agonies. Ma mort est innombrable. Tant d'univers s'éteignent en moi.”

― Eugène Ionesco

Source:
Le roi se meurt: Avec une notice biographique, une notice historique et littéraire, des motes explicatives, des documents, des jugements, un questionaire et des sujets de devoirs et d'exposes (ed. 1968)

“Peut-on savoir où s'arrête le normal, où commence l'anormal ? Vous pouvez définir ces notions, vous, normalité, anormalité ? Philosophiquement et médicalement, personne n'a pu résoudre le problème.”

― Eugène Ionesco

Source:
Rhinocéros

“Mme Smith : Ah ! Ces hommes qui veulent toujours avoir raison et qui ont toujours tort !”

― Eugène Ionesco

Source:
La Cantatrice Chauve - La leçon

“Le roi: Vous les suicidés, apprenez-moi, comment il faut faire pour acquérir le dégoût de l'existence. Apprenez-moi la lassitude. Quelle drogue faut-il prendre pour cela?”

― Eugène Ionesco

Source:
Le roi se meurt

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Eugène Ionesco

Naissance: 26 novembre 1909

Décès: 28 mars 1994 (à 84 ans)

Biographie: Eugène Ionesco, né Eugen Ionescu le 26 novembre 1909 à Slatina et mort le 28 mars 1994 à Paris, est un dramaturge et écrivain roumain et français. Il passe la majeure partie de sa vie à voyager entre la France et la Roumanie. Représentant du théâtre de l'absurde, il écrit de nombreuses œuvres dont les plus connues sont La Cantatrice chauve, Les Chaises ou bien encore Rhinocéros.

Personnalité roumaine

Dramaturge du Théâtre de l'absurde

Écrivain français

Membre de l'Académie française

Satrape du Collège de 'Pataphysique

Naissance en 1909

Naissance le 26 novembre

Citation du jour

“Bien des années plus tard, sur son lit d'agonie, Aureliano le Second devait se rappeler cet après-midi pluvieux de juin où il fit irruption dans la chambre pour faire connaissance avec son premier fils.”

— Gabriel García Márquez

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