Source: Les ailes brisées, Khalil Gibran (trad. Joël Colin), éd. Sindbad-Actes Sud, coll. Les littératures contemporaines : La bibliothèque arabe, 2001, chap. Entre Astarté et le Christ, p. 81
“J'avais mon ânier, mon fruitier, mon parfumeur, mon orfèvre, mon papetier, des affaires prospères, des relations au palais et une maison sur le Nil. Je croyais avoir atteint l'oasis des sources fraîches.”