Source: « L'Œuvre au noir » (1968), dans Œuvres romanesques, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 1982 (ISBN 2-07-011018-4), chap. La Conversation à Innsbruck, p. 654
“Souvent tapageuse, parfois insaisissable, la vie politique et son rituel quotidien obéissent à une mécanique bien huilée dans laquelle même les grincements sont savamment orchestrés.”