Source: Précis des guerres de César (Écrit par Marchand, à Sainte-Hélène, sous la dictée de l'empereur), Napoléon Bonaparte, éd. Gosselin, 1836, p. 237
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”