Source: Oeuvres complètes: revues et augmentées sur les manuscrits communiqués par sa famille; accompagnées de notes, et terminées par une table analitique des matières (ed. 1797)
“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”