Frères (262 citations)

“J'avais deux gosses. Deux filles. J'avais aussi un père, une mère, un frère, deux sœurs, un ex-mari, un boulot, un emprunt et un paquet d'autres trucs. J'ai plus grand-chose aujourd'hui. Les choses ont changé.”

― Robert Kirkman

Source:
Walking Dead, Tome 4 : Amour et mort

“Le jeune Greg Heffley est au collège. Tout va de travers pour lui. Par exemple, son frère organise une fête pendant que les parents sont ailleurs, et Greg Heffley se fait embarrer dans la cave où il fait très froid. Que va-t-il arriver d'autre?”

― Jeff Kinney

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Journal d'un dégonflé, tome 2 : Rodrick fait sa loi

“L'archimandrite lui avoua qu'il avait cent milles ecus de rente pour avoir fait vœu de pauvrete,et qu'il exerçait un empire assez etendu en vertu de son vœu d'humilite,apres quoi il laissa Babouc entre les mains d'un petit frere qui lui fit les honneurs”

― Voltaire

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Le Monde comme il va : Et autres contes Extraits de Zadig et autres contes

“OPHELIA. - J'espère que tout ira bien. Il faut avoir de la patience; mais je ne puis m'empêcher de pleurer, en pensant qu'ils l'ont mis dans une froide terre. Mon frère le saura; et sur ce, je vous remercie de votre bon conseil.”

― William Shakespeare

Source:
Hamlet

“L'amour est plus puissant que tous les poisons du monde ; aussi beaucoup l'ont nommé le frère de la mort. Oh ! combien ont péri par lui ! Que de malheurs il cause ! Que de pauvres gens deviennent ses esclaves !”

― Lope de Vega

“En revanche, dans mon wagon, un homme que je ne connaissais pas est mort à coté de moi. (...) Il est mort mais nous étions si serrés que le cadavre est resté debout, appuyé entre mon frere et moi sans que l'on s'en rende compte.”

― Shlomo Venezia

Source:
Sonderkommando : Dans l'enfer des chambres à gaz

“L'homme qui ne dort pas, et je n'ai depuis quelques mois que trop d'occasion de le constater sur moi-même, se refuse plus ou moins consciemment à faire confiance au flot des choses. Frère de la Mort... Isocrate se trompait, et sa phrase n'est qu'un amplification de rhéteur. Je commence à connaître la mort ; elle a d'autres secrets, plus étrangers encore à notre présente condition d'homme. Et pourtant, si enchevêtrés, si profonds sont ces mystères d'absence et de partiel oubli, que nous sentons bien confluer quelque part la source blanche et la source sombre.”

― Marguerite Yourcenar

Source:
Mémoire d'Hadrien suivi de carnet de notes de Mémoire d'Hadrien, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, 1976, chap. Animula Vagula Blandula, p. 48

“Frère, il y a dans presque toutes les choses terrestres je ne sais quelle lie ou quel déboire qui vous en dégoûtent, et les rares objets qui par hasard ont la perfection en partage sont mortellement tristes.”

― Marguerite Yourcenar

“Tous les hommes sont égaux, il faut quand même battre le frère quand il est faux.”

― Claude Frisoni

“Tout homme est mon frère tant qu'il n'a pas parlé.”

― Jean Rostand

“Mon stupide petit frère...Si tu veux être en mesure de me tuer un jour Déteste-moi ! Hais-moi ! Maudit-moi Fuis Fuis ! Accroche-toi à la vie Et puis, quand tu posséderas la même pupille que moi Viens à moi !”

― Masashi Kishimoto

Source:
Naruto, tome 17 : La puissance d'Itachi

“Gilles ne se souvenait d'aucune image du bonheur, même avant l'incorporation de son frère aîné. Ce bonheur ne pouvait donc provenir que de la lecture. Quoi d'autre ?”

― Jean-Luc Seigle

Source:
En vieillissant les hommes pleurent

“Hypocrite lecteur, — mon semblable, — mon frère !”

― Charles Baudelaire

Source:
« Les Fleurs du mal », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. Bouquins, 2004, p. 4 - Les Fleurs du mal, 1857

“Ce frère brutal mais dont la parole était sûre, patient au sacrifice, diamant et sanglier, ingénieux et secourable, se tenait au centre de tous les malentendus tel un arbre de résine dans le froid inalliable. Au bestiaire de mensonges qui le tourmentait de ses gobelins et de ses trombes il opposait son dos perdu dans le temps. Il venait à vous par des sentiers invisibles, favorisait l'audace écarlate, ne vous contrariait pas, savait sourire. Comme l'abeille quitte le verger pour le fruit déjà noir, les femmes soutenaient sans le trahir le paradoxe de ce visage qui n'avait pas des traits d'otage.”

― René Char

Source:
Fureur et mystère (1948), René Char, éd. Gallimard, coll. Poésie, 1962 (ISBN 2-07-030065-X), partie SEULS DEMEURENT (1938-1944), L'absent, p. 39 - Seuls demeurent (1938-1944)