Source: Le Crépuscule des idoles, Friedrich Nietzsche (trad. Henri Albert), éd. Société du Mercure de France, 1906, partie Maximes et flèches, § 33, p. 113
“Je vois très bien que le talent n'a de valeur que parce que le monde est enfantin. Si le public avait la tête assez forte, il se contenterait de la vérité.”