| “ C'était bon signe; en cas de crise grave, il est réconfortant de vérifier que les gens, naturellement, se regroupent encore en bandes, en syndicats, en réseaux. Face à la noirceur et à la dureté du monde moderne, ils comprennent au moins qu'il est désormais impossible de rester seul. Que le retrait hautain ou désespéré, la solitude forcenée, le château d'ivoire, toutes ces conneries, eh bien c'est la mort annoncée...” Source: Train perdu wagon mort, Jean-Bernard Pouy, éd. Roman Noir, points n°1897, 2003 (ISBN 2-915034-07-9), p. 29 |