| “ Et puis tu regardes la vieille peau : sans dents, sans yeux, sans cervelle, sans âme, sans cul, sans bouche, sans couleur, sans nerfs, sans rien, rien qu'un bâton, et tu te demandes ce que son thé, ses biscuits, son église et son petit pavillon ont fait pour ELLE. Et les vieux se mettent parfois dans une colère noire contre les jeunes : " Bon sang, j'ai travaillé dur toute ma vie ! " (Ils prennent le travail pour une vertu, mais ça prouve seulement qu'un type est taré).” Source: Journal d'un vieux dégueulasse (1982), Charles Bukowski, éd. Grasset & Fasquelle, coll. Le Livre de Poche, 1967 (ISBN 978-2-253-03621-0), La grande défonce, p. 209 - Nouveaux contes de la folie ordinaire, 1967 |