Source: « Albertine disparue », chap. 1 (« Le chagrin et l'oubli »), dans À la recherche du temps perdu, Marcel Proust, éd. Gallimard, 1925, t. XIII, p. 57 - À la recherche du temps perdu
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”