Source: Le Portrait de Dorian Gray (1891), Oscar Wilde (trad. Eugène Tardieu et Georges Maurevert), éd. A. Savine, 1895, p. III - Le Portrait de Dorian Gray
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”