Hubert Ben Kemoun (7 citations)

“Les impuissants dotés d'un certain pouvoir ont les fantasmes de gloire qu'ils peuvent. J'ai toujours pensé cela aussi vis-à-vis des ordures qui levaient la main sur ma mère. [Arturo]”

― Hubert Ben Kemoun

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Seuls en enfer !

“En gros, je lui reprochais de ne pas m'accorder l'attention que je ne lui réclamais pas. C'était injuste, mais c'était comme ça.”

― Hubert Ben Kemoun

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Seuls en enfer !

“Tante Emma n'avait pas qu'un prénom d'amour conjugué, elle élevait l'amour et la tendresse au rang des beaux-arts. [Pélagie]”

― Hubert Ben Kemoun

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Seuls en enfer !

“J'ai à peine seize ans, je n'ai pas été glorieux pour ce qui est de mes études, mais je sais déjà [...] que le pire n'est pas d'avoir des esclaves, mais de leur faire croire qu'ils sont libres. [Arturo]”

― Hubert Ben Kemoun

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Seuls en enfer !

“Est-ce qu'elle a assez dit à Emma et à ses enfants à quel point elle les aimait ? [...] Non, on ne dit jamais assez ces choses-là à ceux qu'on aime.”

― Hubert Ben Kemoun

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Seuls en enfer !

“Mon jeune frère apprenait à compter après avoir appris qu'il ne pouvait plus compter sur son père.”

― Hubert Ben Kemoun

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La fille seule dans le vestiaire des garçons

“Est-ce qu'on meurt comme le nouveau-né qui vient de voir le jour ? Avec le même cri ? Les mêmes larmes ? La même terreur ?”

― Hubert Ben Kemoun

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Seuls en enfer !

Hubert Ben Kemoun

Hubert Ben Kemoun

Biographie: Hubert Ben Kemoun, né à Sidi Bel Abbès en Algérie en 1958, est un auteur français de littérature d'enfance et de jeunesse.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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