Citation de Antoine Fabre d'Olivet

“L'homme développe, perfectionne ou déprave mais il ne crée rien.”

Source:
Les vers dorés de Pythagore: expliqués, et traduits pour la première fois en vers eumolpiques français; précédés d'un discours sur l'essence et la forme de la poésie, chez les principaux peuples de la terre. Adressé à la classe de la langue et de la littérature francaises, et à celle d'histoire et de littérature ancienne de l'Institut impérial de France (ed. 1813)

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L'homme développe, perfectionne ou déprave mais il ne crée rien. - Antoine Fabre d'Olivet

Autres citations de Antoine Fabre d'Olivet

“L'homme est une plante qui porte des pensées, comme un rosier porte des roses, et un pommier des pommes.”

― Antoine Fabre d'Olivet

Citations d'autres auteurs

“Quand la grande majorité d'une population est très au-dessous de la moyenne, il y a de quoi s'inquiéter.”

― Grégoire Lacroix

Source:
Les Euphorismes de Grégoire

“Les idées fausses qui se transforment en préjugés ont la vie plus dure que les vérités objectives.”

― Alexandre Zinoviev

Source:
Science Fiction - Politique (1983), Alexandre Zinoviev, éd. Denoël, 1984 (ISBN 2 207 33002 8), t. 2, partie "1984" et 1984, p. 49

“Le petit homme n'avait ni femme ni enfant, mail il avait très envie de conserver ses oreilles et ses organes génitaux dans un état acceptable. Il jura donc sur son honneur de cheminot qu'il ne soufflerait pas un mot à qui que ce soit.”

― Jonas Jonasson

Source:
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire

“J'ai toujours représenté la souveraineté du peuple comme une mystification oppressive, et l'égalité comme un ignoble mensonge.”

― Auguste Comte

“N'ayez pas peur du bonheur : il n'existe pas.”

― Michel Houellebecq

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Antoine Fabre d'Olivet

Naissance: 8 décembre 1767

Décès: 27 mars 1825 (à 57 ans)

Biographie: Antoine Fabre d’Olivet, né le 8 décembre 1767 à Ganges et mort le 27 mars 1825 à Paris, est un écrivain, philologue et occultiste français. L’importante partie de sa production qu’il a, comme écrivain et philologue, consacrée à la langue occitane, fait de lui un des précurseurs de la renaissance du Félibrige.