Source: Œuvres de Maximilien de Robespierre, Marc Bouloiseau, Georges Lefebvre, Jean Dautry, Albert Soboul, éd. Presses Universitaires de France, 1958, t. 9 : Discours (4e partie) septembre 1792-27 juillet 1793, p. 119 - Discours à la Convention nationale sur les subsistances, 2 décembre 1792
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”