Source: Les Infortunes de la vertu, Donatien Alphonse François de Sade, éd. Garnier-Flammarion, 1969, p. 61 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - Les Infortunes de la vertu, 1787
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”