Source: Boccace, Décaméron, Christian Bec (traduction, introduction et notes sous la direction de), éd. Librairie Générale de France, Paris, 1994, p. 59
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”