Source: « Britannicus » (1669), dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 1999, t. I, acte I, scène 1, p. 389, vers 386-390
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”