Source: (fr) Le Théorème du Perroquet, Denis Guedj, éd. Points, Septembre 2000 (ISBN 978-2-02-042785-2), chap. 24 (« Archimède. Qui peut le moins peut le plus »), p. 598 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“J'avais mon ânier, mon fruitier, mon parfumeur, mon orfèvre, mon papetier, des affaires prospères, des relations au palais et une maison sur le Nil. Je croyais avoir atteint l'oasis des sources fraîches.”