Source: Un cantique pour Leibowitz (1960), Walter Michael Miller, Jr., éd. Gallimard, coll. Folio SF, 2001, p. 312 - Un cantique pour Leibowitz (A Canticle for Leibowitz), 1960
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”