Source: Les Filles du feu (1834), Gérard de Nerval, éd. Maxi-Livres, coll. Maxi-Poche Classiques Français, 1997 (ISBN 2-8771-4348-1), partie Sylvie Souvenir du valois, IX. Ermenonville, p. 131 - Sylvie
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”