Source: « Lettre à Ménécée », dans Épicure et les épicuriens (1961), Épicure (trad. Maurice Solovine, choix des textes Jean Brun), éd. Presses Universitaires de France, coll. Les grands textes, 2004, p. 129
Source: Cours de philosophie positive, Auguste Comte, éd. Rouen Frères (Bachelier), 1830-1842, t. 1, leçon 1, p. 14 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”