Source: Robespierre, écrits, Claude Mazauric, éd. Paris Messidor/Éditions sociales, 1989, p. 91 - Discours de Robespierre sur l'organisation des gardes nationales limitée aux citoyens actifs, prononcé au club des Jacobins, 5 décembre 1790
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”