Source: L'automne à Pékin (1956), Boris Vian, éd. La Pléiade Œuvres romanesques complètes T1, 2010, Deuxième mouvement, VII, p. 654 - L'Automne à Pékin, 1947
“Ce petit chien n'avait son pareil, il valait son pesant d'or, son aspect était réjouissant au possible, malheureusement il n'a rien à voir avec cette histoire, aussi faut-il nous détourner de lui.”