Source: L'automne à Pékin (1956), Boris Vian, éd. La Pléiade Œuvres romanesques complètes T1, 2010, Deuxième mouvement, VII, p. 654 - L'Automne à Pékin, 1947
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”