Source: L'automne à Pékin (1956), Boris Vian, éd. La Pléiade Œuvres romanesques complètes T1, 2010, Deuxième mouvement, VII, p. 654 - L'Automne à Pékin, 1947
“J'avais mon ânier, mon fruitier, mon parfumeur, mon orfèvre, mon papetier, des affaires prospères, des relations au palais et une maison sur le Nil. Je croyais avoir atteint l'oasis des sources fraîches.”