Source: Le Roman de Venise (2004), George Sand/Alfred de Musset, éd. Grasset, 1904, George Sand à François Buloz Nohant, 5 janvier 1836, p. 471 - Le Roman de Venise, 1904
“Il est stupide de s'attrister à cause de la perte d'une compagnie : nous pouvions ne jamais rencontrer cette personne, nous pouvons donc nous en passer.”