Source: « Les Paradis artificiels », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. Bouquins, 2004, p. 233 - Les Paradis artificiels, 1860
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”