Citation de Loïc Decrauze

“Je n'envisage aucune fuite vers d'improbables horizons meilleurs. Cette obsession du dépaysement, des confins en mire perpétuelle, révèle souvent des existences ravagées par le vide du temps gâché. Il leur faudrait apprendre la beauté de l'ancrage, le goût de l'immobilité nourrissante, la vraie liberté de rester et faire fructifier.”

― Loïc Decrauze

Source:
S'Unir à l'Essentiel, 30 juillet 2005, dans Blogspot.com, Loïc Decrauze.

Citation en image:

Je n'envisage aucune fuite vers d'improbables horizons meilleurs. Cette obsession du dépaysement, des confins en mire perpétuelle, révèle souvent des existences ravagées par le vide du temps gâché. Il leur faudrait apprendre la beauté de l'ancrage, le goût de l'immobilité nourrissante, la vraie liberté de rester et faire fructifier. - Loïc Decrauze

Autres citations de Loïc Decrauze

“Les techniques s'affinent, l'intelligence de l'homme n'évolue pas.”

― Loïc Decrauze

Source:
Les Boyaux de la Pomme à Guillaume, Loïc Decrauze, éd. Res Universalis, 1987, p. 19

“Que ces fous de Dieu m'expliquent la philosophie de leur action. Où donc se niche toute la sagesse religieuse, si elle a jamais existé ? Croire et massacrer, curieuse alchimie. Création de l'homme pour qu'il tue son prochain, inepte conception. Il faudra répondre de cette finalité devant cette scabreuse immanence déifiée.”

― Loïc Decrauze

Source:
Au Purgatoire, 12 juillet 1994, dans Blogspot.com, Loïc Decrauze.

“La différence entre Hitler et Staline c'est que l'un faisait exterminer par intime conviction, et l'autre par conviction intime.”

― Loïc Decrauze

Source:
Micberth et les gros niqueurs, Loïc Decrauze, éd. Res Universis, 1990, p. 121

Toutes les citations de Loïc Decrauze

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Loïc Decrauze

Naissance: 6 octobre 1969 (55 ans)

Biographie: Loïc Decrauze se définit comme un diariste pamphlétaire français né le 6 octobre 1969 à Tours.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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