Source: Le Grand-Orient de France. Sa Doctrine et ses Actes, Jean-Baptiste Bidegain, éd. Librairie antisémite, Paris, 1905, chap. Comment et Pourquoi j'ai remis les fiches, p. 11
“C'est à l'animus qu'appartiennent les projets et les soucis, deux manières de n'être pas présent à soi-même. À l'anima appartient la rêverie qui vit le présent des heureuses images.”