Source: (fr) Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres Tome II (1965), Diogène Laërce, éd. GF Flammarion, 1965 (ISBN 2-08-070077-4), p. 29
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”