Source: « Dédicaces » (1890), dans Œuvres complètes de Paul Verlaine, Paul Verlaine, éd. L. Vanier, 1902-1905, t. 3, poème LXII (« À Arthur Rimbaud »), p. 161, vers 1-2
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”