Source: Nous étions jeunes et insouciants, Laurent Fignon, éd. Librairie générale française, coll. Le livre de poche, 2009 (ISBN 978-2-253-13444-2), p. 262
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”