Citation de Gérard Pommier

“Certes, il existe un clivage entre le sujet et l'organisme auquel il s'appareille, non par le biais de l'âme, mais grâce à la matérialité du langage. La parole est en quelque sorte " clivée au corps " et l'organisme en garde la mémoire, par exemple sous la forme du symptôme.”

― Gérard Pommier

Source:
Comment les neurosciences démontrent la psychanalyse, Gérard Pommier, éd. Flammarion, 2004 (ISBN 2-08-210369-2), p. 11

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Certes, il existe un clivage entre le sujet et l'organisme auquel il s'appareille, non par le biais de l'âme, mais grâce à la matérialité du langage. La parole est en quelque sorte

Citations d'autres auteurs

“Juif, c'est pas une religion ! Aucune religion ne fait pousser un nez comme ça !”

― Serge Gainsbourg

“Le temps c'est comme un flocon de neige, pendant qu'on se demande ce que l'on va faire avec, il fond.”

― Stanisław Jerzy Lec

“Comment contrôler une telle perversité, une haine aussi monstrueuse ?”

― Jack Vance

Source:
(en) Le Dirdir, Jack Vance (trad. Michel Deutsch), éd. J'ai lu, coll. S-F, 1971, p. 194 - Le Dirdir, 1969

“Il y à des tâches insurmontables comment affronter la réalité, dire la vérité ou reconnaître ses erreurs. On contourne, on évite, on passe à autre chose et on fait sienne la morale jésuite : mentir par omission n'est pas mentir.”

― Jean-Michel Guenassia

Source:
Le club des incorrigibles optimistes

“J'arrive pour formuler nos intentions : on n'incite pas nos sœurs à être candidates à l'excision, nous aussi on souhaite émanciper la femme, mais on ne règlera pas le problème en relookant les Afghanes. Travail égal, fiche de paie inégale pour femme, c'est tout de même pas une philosophie musulmane, ce drame, parce que silencieuses sont leurs marches, pour respecter nos sœurs on n'attendra pas le 8 mars”

― Médine (rappeur)

Source:
Arabian Panther, 2008

Gérard Pommier

Naissance: 1941 (84 ans)

Biographie: Gérard Pommier est un universitaire, psychiatre et psychanalyste français né en 1941.

Citation du jour

“Je suis recouvert de chair tiède. Mes recoins les plus secs sont mouillés ; mon corps froid se réchauffe ; il est inondé et luisant. L'eau descend et m'enrobe comme une anguille. À présent des serviettes chaudes m'enveloppent, je me frotte le dos et le tissu rêche fait ronronner mon sang.”

— Virginia Woolf

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