Citation de Carlos Liscano

“C'était un homme de cœur. Il s'est occupé de moi, il m'a protégé. Il a fait son devoir de père. Avec les ans, je tiendrai pour une vérité que remplir ses obligations, ce n'est pas rien.”

― Carlos Liscano

Source:
Le fourgon des fous

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C'était un homme de cœur. Il s'est occupé de moi, il m'a protégé. Il a fait son devoir de père. Avec les ans, je tiendrai pour une vérité que remplir ses obligations, ce n'est pas rien. - Carlos Liscano

Autres citations de Carlos Liscano

“Certains jours, peu nombreux, tristes jours, mauvaises heures, je me dirai que mes années de prison m'ont enlevé des chances. Celle d'étudier par exemple. Jamais, à aucun moment, je ne sentirai que la prison m' a appauvrit spirituellement.”

― Carlos Liscano

Source:
Le fourgon des fous

Citations d'autres auteurs

“Voulez-vous juger un homme ? Observez ses amis.”

― Fénelon

“Faire ensemble de bonnes actions, c'est l'unique manière de nous aimer.”

― Italo Calvino

Source:
Le Vicomte pourfendu

“Les sables du temps, nul ne peut les arrêter. Les grains s'écoulent, les années passent, que nous le voulions ou non... et pourtant les souvenirs restent. Ce que nous avons perdu se perpétue dans nos mémoires.”

― Christopher Paolini

Source:
L'Héritage, Tome 1 : Eragon

“Je suis seule comme Adam. Ça fait du mal dedans. L'arbre fait-il du bruit quand il tombe dans la forêt vide?”

― Amanda Sthers

Source:
Les érections américaines, Amanda Sthers, éd. Flammarion, 2013, p. 24 - Les érections américaines (2013)

“La perspective de profits démesurés incite les gens à surestimer leurs propres aptitudes.”

― Cormac McCarthy

Source:
Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme, Cormack McCarthy, éd. Éditions de l'Olivier, 2006, p. 239

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Carlos Liscano

Naissance: 1949 (76 ans)

Biographie: Carlos Liscano est un écrivain uruguayen né en 1949 à Montevideo. Engagé dans le mouvement Tupamaros, il est arrêté le 14 mars 1972 et condamné peu après par le régime militaire à treize années de prison. C'est dans sa cellule du pénitencier de la Liberté qu'il commence à écrire. En 1985, une fois libéré, il s'exile en Suède et ne rentre en Uruguay qu'en 1996.