Citation de Carlos Liscano

“Certains jours, peu nombreux, tristes jours, mauvaises heures, je me dirai que mes années de prison m'ont enlevé des chances. Celle d'étudier par exemple. Jamais, à aucun moment, je ne sentirai que la prison m' a appauvrit spirituellement.”

― Carlos Liscano

Source:
Le fourgon des fous

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Certains jours, peu nombreux, tristes jours, mauvaises heures, je me dirai que mes années de prison m'ont enlevé des chances. Celle d'étudier par exemple. Jamais, à aucun moment, je ne sentirai que la prison m' a appauvrit spirituellement. - Carlos Liscano

Autres citations de Carlos Liscano

“C'était un homme de cœur. Il s'est occupé de moi, il m'a protégé. Il a fait son devoir de père. Avec les ans, je tiendrai pour une vérité que remplir ses obligations, ce n'est pas rien.”

― Carlos Liscano

Source:
Le fourgon des fous

Citations d'autres auteurs

“Si Bouvard et Pecuchet vivaient aujourd'hui, ils passeraient leur temps à poster des statuts stupides sur Facebook et seraient très fiers d'eux.”

― Jonathan Coe

“La douleur de l'âme pèse plus que la souffrance du corps.”

― Publius Syrus

“L'ingratitude la plus odieuse, mais la plus commune et la plus ancienne, est celle des enfants envers leurs pères.”

― Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues

Source:
Oeuvres completes, revues et augmentees sur les manuscrits, accompagnees de notes (etc.) (ed. 1797)

“La société n'est qu'un spectacle. Ce qu'on est convenu d'appeler l'ordre social n'en est que la distribution des rôles.”

― Nicolas Grimaldi

Source:
Le Travail. Communion et excommunication, Nicolas Grimaldi, éd. PUF, coll. Questions, 1998 (ISBN 2-13-048999-0), p. 85

“Moi je tuerais pour toi, et même je me tuerais pour toi.”

― Justine Lévy

Source:
Rien de grave

Wikimedia Commons

Carlos Liscano

Naissance: 1949 (76 ans)

Biographie: Carlos Liscano est un écrivain uruguayen né en 1949 à Montevideo. Engagé dans le mouvement Tupamaros, il est arrêté le 14 mars 1972 et condamné peu après par le régime militaire à treize années de prison. C'est dans sa cellule du pénitencier de la Liberté qu'il commence à écrire. En 1985, une fois libéré, il s'exile en Suède et ne rentre en Uruguay qu'en 1996.