Citation de Salvador Dalí

“[...] les premières maisons comestibles [...], les premiers et seuls bâtiments érotisables, dont l'existence vérifie cette formation urgente et si nécessaire pour l'imagination amoureuse : pouvoir le plus réellement manger l'objet du désir.”

― Salvador Dalí

Source:
De la beaute terrifiante et comestible de l'architecture modern style (1933) in Oui, Salvador Dalí et Robert Descharnes, éd. Denoël/Gonthier, 1971, vol. 2, p. 26 - Oui, 1971

Citation en image:

[...] les premières maisons comestibles [...], les premiers et seuls bâtiments érotisables, dont l'existence vérifie cette formation urgente et si nécessaire pour l'imagination amoureuse : pouvoir le plus réellement manger l'objet du désir. - Salvador Dalí

Autres citations de Salvador Dalí

“Ne t'occupe pas d'être moderne. C'est l'unique chose que malheureusement, quoi que tu fasses, tu ne pourras pas éviter d'être.”

― Salvador Dalí

Source:
Les cocus du vieil art moderne, Salvador Dalí, éd. Fasquelle, 1956, p. 38 - Les cocus du vieil art moderne

“Le moins que l'on puisse demander à une sculpture, c'est qu'elle ne bouge pas.”

― Salvador Dalí

Source:
Les cocus du vieil art moderne

“Je possède en moi la notion ininterrompue que tout ce qui a trait à ma personne et à ma vie est unique et reste toujours marqué par un caractère exceptionnel, total et truculent.”

― Salvador Dalí

Source:
Journal d'un génie adolescent, Salvador Dalí, éd. La Table ronde, 1964, p. 62 - Journal d'un génie adolescent

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Salvador Dalí

Naissance: 11 mai 1904

Décès: 23 janvier 1989 (à 84 ans)

Biographie: Salvador Dalí i Domènech, marquis de Dalí de Púbol, né à Figueras le 11 mai 1904 et mort dans la même ville le 23 janvier 1989, est un peintre, sculpteur, graveur, scénariste et écrivain catalan de nationalité espagnole. Il est considéré comme l'un des principaux représentants du surréalisme et comme l'un des plus célèbres peintres du XXe siècle.

Citation du jour

“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”

— Carole Martinez

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