Citation de David Ruelle

“Les ordinateurs feront bientôt concurrence aux mathématiciens et risquent de les mettre pour toujours au chômage.”

― David Ruelle

Source:
Hasard et chaos (1991), David Ruelle, éd. Odile Jacob, 2000, p. 11

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Les ordinateurs feront bientôt concurrence aux mathématiciens et risquent de les mettre pour toujours au chômage. - David Ruelle

Autres citations de David Ruelle

“La science est totalement amorale, et complètement irresponsable.”

― David Ruelle

Source:
Hasard et chaos (1991), David Ruelle, éd. Odile Jacob, 2000, p. 215

“Il est pathétique que ce cerveau (humain) prétendument si supérieur a du mal a exécuter des opérations arithmétiques simples, est incapable de donner l'heure exacte, et ne peut pas mettre en mémoire quelques milliers de chiffres (...) Dans l'activité typiquement "supérieure" que constitue la science, il semble que nous utilisons surtout nos capacités de langage et notre système visuel. L'implication du système visuel est un gros avantage, et c'est pourquoi la géométrisation des mathématiques est importante.”

― David Ruelle

Source:
Hasard et chaos (1991), David Ruelle, éd. Odile Jacob, 2000, p. 207

“Nous présentons nos connaissances mathématiques sous la forme de brefs théorèmes parce que notre esprit rejette les formulations réellement longues (...) En bref, la façon dont nous faisons des mathématiques est humaine, trop humaine (...) à cause du théorème de Gödel, nous n'avions aucune garantie que la question puisse être résolue.”

― David Ruelle

Source:
Hasard et chaos (1991), David Ruelle, éd. Odile Jacob, 2000, p. 208

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David Ruelle

Naissance: 20 août 1935 (89 ans)

Biographie: David Ruelle, né le 20 août 1935 à Gand, est un physicien mathématicien d'origine belge, ayant acquis la citoyenneté française en 1984. Il a été élu à à l'Académie des sciences en 1985 et est Chevalier de la Légion d'honneur.

Citation du jour

“J'avais mon ânier, mon fruitier, mon parfumeur, mon orfèvre, mon papetier, des affaires prospères, des relations au palais et une maison sur le Nil. Je croyais avoir atteint l'oasis des sources fraîches.”

— Amin Maalouf

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