Citation de Harriet Beecher Stowe

“Oui, il fallait fuir, et cesser d'épuiser sa vie inutile et solitaire sur des besognes exténuantes et payées de coups.”

― Harriet Beecher Stowe

Source:
La Case de l'oncle Tom

Citation en image:

Oui, il fallait fuir, et cesser d'épuiser sa vie inutile et solitaire sur des besognes exténuantes et payées de coups. - Harriet Beecher Stowe

Autres citations de Harriet Beecher Stowe

“Un travail assez doux par lui-même devient insupportable par la continuité des heures, par la monotonie de l'occupation... et par cette affreuse pensée que ce travail, on est obligé de le faire.”

― Harriet Beecher Stowe

Source:
La case de l'oncle Tom

“Mon mari ne m'a jamais comprise, jamais appréciée, car les hommes sont tous foncièrement égoïstes et inconsidérés envers les femmes. Telle est du moins mon impression.”

― Harriet Beecher Stowe

Source:
La Case de l'oncle Tom

“Le bonheur dont il approchait lui semblait trop grand pour être réel, et il appréhendait il ne savait quelle catastrophe.”

― Harriet Beecher Stowe

Source:
La Case de l'oncle Tom

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Harriet Beecher Stowe

Naissance: 14 juin 1811

Biographie: Elizabeth Harriet Beecher Stowe, née le 14 juin 1811 à Litchfield et décédée le 1er juillet 1896 à Hartford, est une femme de lettres américaine, principalement connue pour être l'auteur de La Case de l'oncle Tom, qui porte un sérieux coup à l'esclavagisme.

Citation du jour

“C'est flippant de voir quelque chose partir sans que tu puisses le retenir. Le pire c'est que t'en veux plus à ta propre faiblesse qu'à la lâcheté de celui qui part.”

— Grégoire Delacourt

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