Citation de Patrick Rambaud

“L'idiot possédait un savoir inutile, dont il se contentait, ce qui pourrait définir la sagesse que je cherche, moi, exilé dans le temps, avec ce nouveau destin qui m'incommode.”

― Patrick Rambaud

Source:
L'idiot du village

Citation en image:

L'idiot possédait un savoir inutile, dont il se contentait, ce qui pourrait définir la sagesse que je cherche, moi, exilé dans le temps, avec ce nouveau destin qui m'incommode. - Patrick Rambaud

Autres citations de Patrick Rambaud

“Que cent mille grâces vous soient rendues, Sire, pour avoir suivi le conseil que j'osai vous prodiguer : vous avez finalement dégagé.”

― Patrick Rambaud

Source:
Tombeau de Nicolas Ier, avènement de François IV

“Des paroles de son cher Sénèque lui revenaient : il faut toujours prendre les choses à la légère et les supporter avec bonne humeur ;il est plus humain de rire de la vie que d'en pleurer.”

― Patrick Rambaud

Source:
Il neigeait

“Nous pouvons déchiffrer, gribouiller, ânonner, nous contenter d'un langage pénible et hésitant, mais dans la vie moderne, même pour se promener sur Internet, mieux vaut lire, écrire et parler clair. La grammaire n'est qu'un mode d'emploi qui évolue avec l'usage et le temps. Ce n'est pas une punition mais une nécessité, un droit, une chance et un jeu.”

― Patrick Rambaud

Source:
La Grammaire en s'amusant, Patrick Rambaud, éd. Grasset, 2007 (ISBN 978-2-253-12575-4), p. 12 - La Grammaire en s'amusant,2007

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Patrick Rambaud

Naissance: 21 avril 1946 (78 ans)

Biographie: Patrick Rambaud, né à Paris le 21 avril 1946 est un écrivain français. Il est l'auteur d'une trentaine de livres dont plusieurs parodies et a obtenu, en 1997, le Prix Goncourt ainsi que le Grand prix du roman de l'Académie française pour La Bataille.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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