Citation de Jacques Bainville

“Les vieux se répètent et les jeunes n'ont rien à dire. L'ennui est réciproque.”

― Jacques Bainville

Source:
Maximes et réflexions (ed. 1931)

Citation en image:

Les vieux se répètent et les jeunes n'ont rien à dire. L'ennui est réciproque. - Jacques Bainville

Autres citations de Jacques Bainville

“[...] la vie des peuples a comme des lois fixes. Pour l'Europe, c'est de ne pas supporter une grande domination : cela s'est vu depuis la chute de l'Empire carolingien. Pour l'Allemagne, c'est d'envahir ses voisins dès qu'elle est forte : cela s'est vu toujours. Et pour la France, c'est d'avoir des frontières moins incertaines à l'Est, dans les territoires que le germanisme ne cesse de lui contester.”

― Jacques Bainville

Source:
(fr) Heur et malheur des Français, Jacques Bainville, éd. Nouvelle Librairie nationale, 1924, partie 3 « Histoire de France », chap. 8 « François Ier et Henri II : la France échappe à l'hégémonie de l'empire germanique », p. 398 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

“Ainsi le traité de paix n'avait rien terminé par sa propre vertu. Il exige encore de nous des efforts et notre compte avec l'Allemagne est loin d'être réglé. Les travaux continuent avec les jours et les jours des peuples sont longs.”

― Jacques Bainville

Source:
Histoire de France

“La politique des agrandissements reprenait, la politique traditionnelle, patiente, mesurée, observant la loi de l'utile et du possible, celle que Richelieu définira : " Achever le pré carré. "”

― Jacques Bainville

Source:
Histoire de France

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Jacques Bainville

Naissance: 9 février 1879

Décès: 9 février 1936 (à 57 ans)

Biographie: Né Jacques Pierre Bainville, Jacques Bainville est un journaliste, chroniqueur de politique étrangère, historien et académicien français, né le 9 février 1879 à Vincennes, mort le 9 février 1936 à Paris. Jacques Bainville fut un proche de Charles Maurras.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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